samedi 28 janvier 2012

Retour sur le Peyrou

Regarder s'il n'y a pas de policiers, faire le mur, trouver un endroit sombre pour pleurer... Montpellier sous les yeux, un ciel triste, qui partage mes peines...
Fin logique, quand tu fais souffrir la femme la plus importante de ta vie, et quand celle que tu aime te fais comprendre la dure réalité.
Ce soir je réalise que ne suis peut être pas aussi bien que ce que je croyais être devenu, alors je reste là, le froid m'importe peut, seule, à m'imaginer qu'elle est là, avec moi,elle trouve ça beau une ville dans la nuit ; oui je suis fou, mais je m'en moque de ce que vous pouvez penser, je me moque que vous ayez raison, oui je dois l'oublier, mais je dois aussi vivre, et depuis plus d'un mois, elle ma redonné l'amour, et je ne peux vivre qu'avec lui.
Désolé de t'aimer si fort, désolé de ne pas être celui dont tu tombera amoureuse, car cette histoire était tellement prometteuse, tellement belle... elle ne pouvait que sortir de mon imagination débordante.

Désolé de ne plus te comprendre, de pas arriver à devenir ami, je te l'avais dit, je suis un bon amant, mais un pitoyable ami... j'aimerai pouvoir te parler sans te faire pleurer, mais je ne comprend plus ton monde.